L'emprise du démon assiège le Majestic ce 13 Janvier !
Yanick KOUAME
Yanick KOUAME
-Rédacteur
Passionné de musique et de cinéma (africain et américain en général), je prends plaisir à décortiquer les films & séries qui ont une marque originale.

Premier film d'horreur de l'année 2023, vous n'allez pas échapper à l'emprise du démon

Copyright Metropolitan FilmExport

Quand une famille qui dispose d’une entreprise de pompes funèbres fait face à un démon, ça donne : l’emprise du démon !

Loin des périodes d’Halloween, l’emprise du démon est le tout premier film d’horreur de 2023 à débarquer au cinéma. Réalisé par Oliver Park avec en tête d’affiche Nick Blood, Emily Wiseman et Paul Kaye, ce premier long métrage du réalisateur britannique fait appel aux croyances juives (judaïsme) et du folklore du Proche-Orient. Le film commence par une petite scène introductive qui pose les bases de l’intrigue horrifique ; un avant-goût de ce qui attend les personnages principaux.

Une épouvante dans la famille

C’est l’histoire d’Arthur qui, en froid avec son père Saul, va le retrouver dans le but de réchauffer les relations familiales refroidies depuis des lustres. Il y va avec sa femme Claire qui attend un enfant de lui. Le couple est reçu et installé dans la vétuste entreprise de pompes funèbres que tient le père d’Arthur. Dans la foulée, l’entreprise reçoit au sous-sol le corps d’un homme apparemment mort dans des conditions plutôt insolites.

Emily Wiseman Copyright Metropolitan FilmExport
Emily Wiseman

L’épouvante s’installe avec l’arrivée de ce cadavre qui contient une entité surnaturelle capable de posséder. Justement, le démon veut posséder l’enfant pas encore né d’Arthur et Claire. Tout le monde se retrouve terrifié par l’esprit maléfique baptisé Abyzou. Pourront-ils échapper ?

Découvrez la bande annonce

Avyzou, de plus en plus présent dans les films d’horreur

Oliver Park n’est pas le premier à utiliser cette figure dans son film. Abyzou, également connu sous le nom d'Obizuth est un démon féminin issu de la culture religieuse juive. On attribuait à Abyzou les fausses couches et la mortalité infantile et on disait qu'elle était motivée par l'envie, car elle était elle-même stérile.

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A voir au Majestic à partir du 13 janvier!

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