« The Continental: From the World of John Wick », par ici la sortie !
Dozilet Kpolo
Dozilet Kpolo
Tueur en séries (Amazon, Apple, HBO, Netflix, etc.), Dozilet se fait aussi souvent des films pour pouvoir ensuite en parler.

Disponible sur Prime Video, « The Continental : D’après l’Univers de John Wick » s’inscrit parfaitement dans l’univers du célèbre porte-flingue.

©️ YouTube

« Bonjour, c’est combien la nuitée ? », demande généralement cette personne qui veut réserver une chambre d’hôtel. Parce que Google n’est pas forcément le best friend de tout le monde, la question se pose encore. Oui, oui. Une chambre à louer au Continental, à l’allure les choses avancent, et les ennemis se massacrent, ça ne sera bientôt plus possible. Par ici, les détails.

UN CONTINENTAL, S’IL VOUS PLAÎT

Avant de diriger le Continental, sorte de Suisse pour des tueurs à gages et autres criminels, Winston Scott (Colin Woodell, vu notamment dans Ambulance aux côtés de Yaya Abdul-Mateen II) est un élégant escroc qui cherche à se faire une place au soleil. Jusqu’ici tout va bien quand soudain son voleur de grand frère dérobe un objet de grand voleur dans le Continental dirigé d’une main de fer dans un gant de velours par Cormac O’Connor (Mel Gibson). À la suite de ce vol, l’hôte lance tous les assassins professionnels aux trousses des frères Scott ; lesquels s’associent à notamment à une autre fratrie qui sait aussi se défendre : Lou et Miles.

Ainsi démarra la lutte pour le Continental.

MEL GIBSON EN VIEUX PÈRE

Plus discret sur les écrans qu’un virement qui tarde à se positionner sur le compte courant, Mel Gibson (quand même vu récemment dans Father Stu) fait partie de cette série télévisée dont les deux premiers épisodes sont disponibles sur Prime Video.

Toujours bien habillé et bien informé, épaulé par un très jeune Charon, il dirige la filiale new-yorkaise de cet établissement international pour gangsters à la recherche d’un pied-à-terre.

L’autre qui est aussi sapé que lui, voire trop, c’est donc Winston qui manie l’élégance aussi bien que les armes. Et dans le deuxième épisode, sa capacité à pouvoir faire le grand écart entre toutes ces familles mafieuses et donc nouer des alliances saute déjà aux yeux.

L’autre chose évidente, c’est à quel point The Continental s’inscrit bien dans l’univers de John Wick.

LES FRÈRES SCOTT À LA SAUCE JOHN WICK

Depuis ce jour où un fils de mafieux russe a décidé de s’en prendre à son chien, John Wick est ainsi apparu pour la première fois en 2014. Et depuis rares sont ceux qui peuvent s’asseoir à la même table que lui et dire : « Je tue facilement autant de personnes que toi ! Facilement ! »

Peut-être Robert McCall, qui a récemment pris sa retraite en Italie.

Dans The Continental, cette fois-ci, aucune trace de John Wick. Ni dans le petit salon de l’hôtel, ni derrière le desk de Charon qui les accueille les uns après les autres.

Par contre ce qui saute aux yeux c’est la filiation assumée avec la franchise.

Combats déséquilibrés, un contre un, mais aussi tueurs dont la réputation les précède, ou encore coups de feu dans tous les sens, et même l’ombre menaçante de la High Table, cette organisation qui agit dans l’ombre, etc.

Tous les ingrédients du succès de John Wick y sont et tant mieux.

Ce n’est pas tout le temps qu’un spin-off respecte l’esprit de l’univers dans lequel il est tiré. De quoi donner envie d’appeler le Continental et dire : « Bonjour, c’est combien la nuitée ? »

facebook Tweet
Back to Top