Julia Roberts et « Le Monde après nous » courent à la catastrophe
Dozilet Kpolo
Dozilet Kpolo
Tueur en séries (Amazon, Apple, HBO, Netflix, etc.), Dozilet se fait aussi souvent des films pour pouvoir ensuite en parler.

Mis en ligne il y a peu, ce trailer présente « Le Monde après nous » qui vire à l’anormal.

© Netflix

« Aucun retour à la normale est possible ! », affirme sèchement M. Scott (Mahershala Ali, vu notamment dans Moonlight et son premier oscar pour un second rôle masculin). Et pour cause dans Le Monde après nous, rien ne ressemble au monde d’avant. Par ici, les détails.

DIS, À QUOI RESSEMBLE LE MONDE APRÈS NOUS ?

M. et Mme Stanford, avec dans les rôles respectifs Ethan Hawke et Julia Roberts, passaient une soirée tranquille jusqu’à ce que G.H. Scott vient la perturber, leur balançant à la figure, une nouvelle froide et glaçante : une menace pèse sur le monde.

Cette menace, c’est une cyberattaque de grande envergure qui va peu à peu plonger le monde tel qu’il existe, avec : ces smartphones, prolongements de la vie de beaucoup d’êtres humains qui ne fonctionnent plus par exemple. Ou encore des navires à la dérive qui atteignent des plages, sans parler de ces survivalistes prêt-à-tout.

Voilà quoi ressemble Le Monde après nous.

UN CASTING AU RENDEZ-VOUS

Pour porter un énième film sur une terrible catastrophe mondiale, dans la même lignée que 2012, San Andreas & Cie, forcément il faut un gros casting.

Ainsi, y figurent : Julia Roberts, vue notamment dans Pretty Woman, Ethan Hawke, stagiaire qui a échappé aux griffes de Denzel Washington dans Training Day, et Mahershala Ali donc, mais aussi Kevin Bacon autrefois Hollow Man, l’homme sans ombre. Un casting qui promet autant que la bande-annonce.

« LE MONDE APRÈS NOUS », C’EST POUR QUAND ?

Il faut patienter jusqu’au 8 décembre prochain pour regarder ce film catastrophe ; qui sera diffusé sur Netflix.

Certes, la bande-annonce prometteuse, et ce casting impressionnant, met l’eau à la bouche. Mais c’est surtout l’envie de savoir ce qui se passe après avoir : « Aucun retour à la normale est possible ! », qui l’emporte.

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