Yatin : Lieu de souffrance, (Bénin, 2002)
Réalisé par la béninoise Christine Madeleine Botokou, Yatin s’inspire des codes de Nollywood. C’est un film chrétien qui se déroule dans un village imaginaire et voit un pasteur essayer de délivrer la population des pratiques de la sorcellerie et des prêtres vaudous qui terrorisent tout le village. Il dure 3h30 minutes et a traumatisé plusieurs personnes.
Slash, (Afrique du Sud, 2002)
Du réalisateur Sud-Africain Neal Sundström, Slash est un film d’horreur au scénario un peu prévisible. Dans une ferme, Mac chanteur d’un groupe de rock enterre sa tante. Mais d’étranges disparitions et beaucoup de sang viennent troubler son calme.
Billionaire's Club (Nigeria, 2003)
C’est un classique de Nollywood et son succès a dépassé les frontières du Nigeria. Sorcellerie, sacrifices humains, secte, décomposition de corps, ce film regroupe tout ce qui fait une bonne recette de film d’horreur africain. Il est réalisé par Afam Okereke.
Mirages, (Maroc, 2010)
Cinq personnes différentes se retrouvent en compétition pour un emploi au sein d’une entreprise prisée. Pour l'ultime épreuve, ils sont envoyés en plein désert, et après un accident, ils se mettent à halluciner et sont confrontés à leurs peurs les plus sombres. Le film est une coproduction franco-marocaine réalisée par le Marocain Talal Selhami. Mirages a obtenu le Prix spécial du Festival international du film fantastique de Bruxelles.
The Blue Elephant, (Égypte, 2014)
Tiré d’un roman d'Ahmed Mourad et réalisé par Marwan Hamed, The Blue Elephant a récolté plus 4,2 millions de dollars de bénéfices. Yehia, le personnage principal travaille dans un hôpital psychiatrique et est chargé d’évaluer la santé mentale des patients qui sont des criminels. Lorsqu’il retrouve une ancienne connaissance, son passé trouble revient le hanter.
Ojuju (Nigeria, 2014)
Premier long-métrage de C.J. 'Fiery' Obasi, c’est un film de zombie nigérian qui nous entraîne dans un bidonville de la ville de Lagos. Lorsque la principale source d’eau du quartier est contaminée de façon mystérieuse, les habitants développent une forte envie pour la chair humaine, se mettent à grogner et adoptent une démarche étrange. Les rares survivants doivent se cacher et se battre. Le réalisateur a voulu attirer l’attention du public sur le manque d’accès à l’eau potable. .